Pour conclure, nous pouvons affirmer que les orphelinats publiques se distinguent des orphelinats privés par l'historique de leur création mais également par leur fonctionnement. Cependant, ces premiers restent largement majoritaires en nombre, mais tous restent profondément impliqués dans le bien-être des ces orphelins.
Quant aux familles, les prises en charge de ces orphelins se font de plus en plus rares en raison de leur précarité, ce qui nous semble assez contradictoire quand nous savons qu'il existe dans la culture Africaine un fort sentiment d'entre-aide et de solidarité familiale.
Aussi, à la différence des orphelinats à l'étranger, nous remarquons que ceux de la Côte d'Ivoire ne prennent en charge les enfants que jusqu'à l'âge de 12 ans alors que les dépenses relatives à ces derniers grandissant, prennent davantage d'importance. Ne sont-ils donc pas plus ou moins abandonnés et laissés à leur propre sort à un moment crucial de leur vie, et ne serait-il pas plus judicieux d'étaler cette prise en charge encore au moins jusqu'à leur majorité ?
Quant aux familles, les prises en charge de ces orphelins se font de plus en plus rares en raison de leur précarité, ce qui nous semble assez contradictoire quand nous savons qu'il existe dans la culture Africaine un fort sentiment d'entre-aide et de solidarité familiale.
Aussi, à la différence des orphelinats à l'étranger, nous remarquons que ceux de la Côte d'Ivoire ne prennent en charge les enfants que jusqu'à l'âge de 12 ans alors que les dépenses relatives à ces derniers grandissant, prennent davantage d'importance. Ne sont-ils donc pas plus ou moins abandonnés et laissés à leur propre sort à un moment crucial de leur vie, et ne serait-il pas plus judicieux d'étaler cette prise en charge encore au moins jusqu'à leur majorité ?